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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 22:20

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L'insémination Artificielle :


( le fait d'introduire le sperme du mari dans l’ovule de la femme )

 

Cheikh mohamed Ali Ferkous ( Qu' Allah le préserve )

 

La question :  Notre Cheikh, délivrez-nous une fatwa concernant une femme qui a fait deux fausses couches ; et à chaque fois qu’elle faisait des analyses médicales, les médecins n’arrivaient pas à diagnostiquer la maladie. Il n’y avait, plutôt, aucune maladie.

 

En même temps, cette femme n’arrive toujours pas à concevoir. Alors, les médecins ont constaté, après avoir suivi avec elle un traitement médicamenteux, que les hormones ovulaires dans son utérus sont faibles. Ils étaient, alors, obligés de procéder à une opération d’insémination artificielle, comme dernière solution. Cette opération consiste à introduire le sperme du mari dans l’ovule de la femme. En effet, ce cas pourrait être dû à des pratiques de sorcellerie et de magie…etc [1].

 

Est-ce qu’il est, donc, permis de faire ce genre d’insémination. Répondez-nous avec plus d’éclaircissement et d’explication.

 

Nous vous demanderions, aussi, de donner un conseil aux deux époux ; car, après cinq années écoulées, ils font toujours preuve de patience et espèrent la récompense auprès d’Allah عزّ وجلّ.

 

Qu’Allah vous rétribue du bien, et nous accorde la grâce de bénéficier de votre savoir et qu’Il vous préserve. Que la paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous. 

 

 

La réponse : Louange à Allah, Maître des Mondes; et paix et salut sur celui qu'Allah عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

Ceci dit: Cette question dépend, selon les jurisconsultes [de la Charia], du fait de considérer ou non la stérilité comme une nuisance.

 

En effet, ceux qui l’ont considérée ainsi, ont vu qu’il est permis de recourir à son traitement, à l’instar des autres maladies, telles que la cécité et la claudication dues à une blessure qui a causé un défaut fonctionnel.

 

Cet avis est attesté par l’Académie Jurisprudentielle Islamique dans sa troisième session tenue à Amman (capitale de la Jordanie) en mois de Safar 1407 H. l’Académie a vu qu’il y avait des méthodes permises et d’autres interdites dans la Charia ; comme elle a affirmé qu’il n’y avait pas de gêne de féconder artificiellement l’ovule de la femme par le sperme de son mari ; puis, remettre l’ovule dans l’utérus de la femme afin que la procréation s’achève naturellement.

 

Ceci est permis en cas de besoin, tout en assurant l’application de toutes les mesures de prévention nécessaires.

 

Quant à ceux qui ne considèrent pas la stérilité comme une nuisance ; ceux-là voient qu’il n’est pas permis de la guérir par un tel moyen, vu qu’il n’y a pas de nécessité attestée par la Charia ou de besoin urgent pour l’éliminer.

 

Pour ce qui est de mon avis, je vois que la stérilité constitue une nuisance morale qui engendre des douleurs profondes au sein de la famille dont les enfants font défaut.

 

En effet, c’est dans le mal et la douleur que résident la nécessité et le besoin, car la règle annonce que : « La situation restreinte exige l’aisance » ; sauf que ce qui trouble le jugement de permission concernant les opérations d’insémination artificielle est le danger que représentent les erreurs probables dans ce genre d’opération ; et par la suite, le mélange des liens de parenté ; étant donné que l’on ne peut pas être sûr d’empêcher l’introduction de choses illicites lors de ces opérations.

 

Le spécialiste dans le laboratoire pourrait, par exemple, ajouter au sperme impuissant de l’homme un autre sperme dans le but de le fortifier ; comme il pourrait changer certains composants de l’ovule de la femme par les composants de l’ovule d’une autre femme afin de l’améliorer et d’élever le taux de réussite de l’opération.

 

Par ailleurs, la concurrence entre les différents laboratoires spécialisés, les incitant à améliorer le taux de réussite et à courir après le gain et le commerce n’écarte absolument pas le fait qu’il y ait de la négligence et des dépassements dans ce domaine.

 

Par conséquent, cela mène à porter atteinte à l’honneur et à la foi de l’homme. Ce préjudice qui se rapporte à la foi [de l’individu] dépend principalement de l’honnêteté et de l’intégrité des spécialistes qui pratiquent ces opérations d’insémination artificielle, et de la confiance placée en eux.

 

En plus de cela, la femme doit se dévoilée devant le médecin (femme ou homme) dont le travail consiste souvent à projeter l’ovule fécondée par une injection à travers l’appareil génital de la femme.

 

En outre, personne n’ignore qu’il est très difficile de se prémunir et de prendre les mesures préventives nécessaires contre ces préjudices-là.

 

Donc, si cette prévention s’avère impossible, il sera clair que l’intérêt d’avoir des enfants est contrarié par le préjudice de mélanger les liens de parenté, auquel on doit obligatoirement donner la priorité en cas de contradiction, conformément à la règle qui annonce : « Repousser les nuisances passe avant le fait de réaliser les intérêts ».

 

Il est, également, évident que de tels préjudices sont absents dans les autres maladies [auxquelles on a comparé la stérilité], à savoir la cécité et la claudication. De ce fait, l’analogie établie n’est pas valable, vu la manifeste différence qui se trouve entre les deux objets comparés, ainsi que la cause extrinsèque qui est survenue à l’un deux.

 

Le savoir parfait appartient à Allah عزّ وجلّ, et notre dernière invocation est qu'Allah, Seigneur des Mondes, soit Loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

 

Alger, le 11 Cha`bâne 1421 H Correspondant au 8 novembre 2000 G

 

[1] Le mari souffrait d’une grave impuissance sexuelle ; mais il était guéri, par la permission d’Allah, après qu’on l’a exorcisé. Quant à la femme, lors de l’exorcisation, elle a commencé à pleurer et n’a pas poursuivi le traitement.

 

Source : http://www.ferkous.net

 


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Les bébés éprouvette :

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Louange à Allah l'Unique, prière et paix sur celui que nul prophète ne viendra après lui ; notre maître et prophète Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

Que le salut d'Allah soit sur eux !Le conseil du groupe jurisprudentiel islamique a examiné le dossier d'étude qu'a présenté le membre du conseil Mustapha Ahmad Az-Zârqâ' au sujet de l'insémination artificielle et les bébés éprouvettes, sujet qui a préoccupé les gens et devenu l'un des grands problèmes actuels dans le monde.

Le conseil a exposé ce qui a été réalisé dans ce domaine comme performances médicales grâce à la science et la technique pour résoudre les problèmes qui empêchent la procréation.

S'appuyant sur l'étude complète précitée, le conseil a constaté que l'insémination artificielle ( en dehors de la voie naturelle : celle du rapport sexuel direct entre l'homme et la femme ) peut se réaliser selon deux modes principaux : 

- Le mode d'insémination intérieure :Il consiste à injecter le sperme de l'homme dans l'endroit qui convient de l'utérus de la femme. 
 
- Le mode d'insémination extérieur :Il s'agit d'une insémination obtenue à partir du sperme de l'homme et l'ovule de la femme dans un récipient expérimental dans le laboratoire médical, suivie de l'implantation de l'ovule fécondée dans l'utérus de la femme. 
 
Dans les deux cas, il faut immanquablement que la femme se découvre devant celui qui effectue l'opération. 
 
A partir de l'étude qui a été présentée à ce sujet et de ce qu'on a tiré des débats et des discussions, il est apparu clairement au conseil du groupe que les méthodes et les moyens grâce auxquels s'effectue l'insémination artificielle par ses deux modes intérieur et extérieur, sont au nombre de six selon les différentes situations : l'insémination intérieure comprend deux méthodes, l'insémination extérieure comprend quatre méthodes dans la réalité des choses et ce, en dehors du fait que la méthode serait licite ou illicite. 
 

On distingue les méthodes suivantes 
 
 L'insémination artificielle intérieure 
 
  • La première méthode

Elle consiste à prendre le sperme d'un homme marié et l'injecter dans l'endroit qui convient du vagin de son épouse ou de son utérus, pour qu'il y ait rencontre naturelle entre le sperme et l'ovule émise par l'ovaire (de l'épouse), puis fécondation, puis fixation de l'oeuf dans la muqueuse utérine (nidation) avec la permission de Dieu, comme dans le cas d'un rapport sexuel.

On a recours à cette méthode lorsque le mari se trouve dans l'incapacité de 
faire parvenir son sperme dans les organes génitaux de son épouse lors des rapports sexuels. 
 
  • La deuxième méthode

On prend le sperme d'un homme et on l'injecte dans l'endroit qui convient d'une épouse d'un autre homme pour qu'il y ait fécondation interne puis nidation, à l'instar de la première méthode.

On utilise ce moyen lorsque l'époux est stérile ; son sperme est dépourvu de spermatozoïdes, on prélève alors le sperme d'un tiers pour inséminer son épouse. 
 
 L'insémination extérieure 

  • La troisième méthode
 
Elle consiste à prélever le sperme du mari et l'ovule de son épouse, et à les mettre dans un récipient expérimental sous des conditions physico-chimiques adéquates, jusqu'à ce que le spermatozoïde du mari féconde l'ovule de son épouse dans ce récipient expérimental. Puis lorsque l'oeuf commence à se segmenter et à se multiplier, on l'implante au moment opportun dans la muqueuse utérine de la même épouse (celle dont l'ovule a été fécondé), l'oeuf se développe et prend forme comme n'importe quel autre embryon. A la fin de la période normale de grossesse, l'épouse donne naissance à un garçon ou une fille. Et c'est cette insémination artificielle qu'on appelle "bébé éprouvette", elle a été réalisée grâce à un énorme travail scientifique que allah a rendu aisé. Beaucoup d'enfants aujourd'hui ; garçons, filles, jumeaux, ont vu le jour grâce à cette méthode et dont les nouvelles ne cessent d'être diffusées par les journaux mondiaux et les différents médias. On a recours à cette méthode dans le cas où l'épouse est stérile à cause de l'obstruction du conduit qui va de l'utérus vers l'ovaire (Trompe de Fallope).
 
  • La quatrième méthode
 
A l'aide du sperme du mari, on insémine l'ovule prélevé de l'ovaire d'une femme qui n'est pas son épouse (on l'appelle donatrice) dans un récipient expérimental, ensuite on implante l'oeuf issu de cette insémination dans l'utérus de son épouse. On utilise cette méthode en cas d'ablation des ovaires de l'épouse ou de leur défection, tandis que son utérus est sain ; il permet la fixation de l'oeuf fécondé.
 
  • La cinquième méthode
 
Il s'agit d'une insémination extérieure qui s'effectue dans un récipient expérimental et qui est obtenue à partir du sperme d'un homme et de l'ovule d'une femme qui n'est pas son épouse (on les appelle tous les deux des donateurs). Ensuite on transplante l'oeuf dans l'utérus d'une femme tierce déjà mariée. Ils ont recours à cette méthode, lorsque cette dernière est stérile, à cause d'une défection de ses ovaires mais dont l'utérus est sain, et que son époux est également stérile alors que tous les deux désirent avoir un enfant.
 
  • La sixième méthode
 
Il s'agit d'une insémination extérieure dans un récipient expérimental, obtenue à partir du sperme et de l'ovule du couple. On transplante ensuite l'oeuf dans l'utérus d'une femme qui se propose pour porter le foetus. On utilise cette méthode dans le cas où l'épouse ne pourrait supporter la grossesse à cause d'une maladie dans son utérus mais que ses ovaires fonctionnent normalement. Il peut arriver que la femme ait recours à cette méthode parce qu'elle ne souhaite pas, de son propre gré, subir l'état de grossesse. Ce qui fait qu'une autre femme volontaire porte le oetus à sa place. 
 
Voilà donc les moyens d'insémination artificielle que la science a réalisé pour soigner la stérilité.Le conseil a examiné les publications qui confirment que ces méthodes sont réellement appliquées en Europe et en Amérique pour des raisons diverses ; ce peut être dans un but commercial, ou dans le but de préserver la race humaine comme ils le prétendent, ou pour satisfaire l'instinct de maternité chez des femmes qui ne sont pas mariées, ou des femmes mariées mais qui ne peuvent porter d'enfant à cause de leur stérilité ou de la stérilité de leur mari.
 
Le conseil s'est intéressé à tout ce qui été construit dans ce sens comme banques de spermes qui sont des lieux où on les préserve dans une ambiance adéquate, de sorte qu'on puisse les utiliser pour l'insémination et ce même après une longue période. Ces spermes sont prélevés soit d'hommes qui sont sélectionnés selon des critères bien définis, soit de simples bénévoles, soit d'autres qui le font en échange d'une rétribution...Beaucoup de choses ont été dites à ce sujet. C'est devenu donc un fait réel dans certains pays civilisés. 
Le statut juridique 
 
Après avoir observé les informations sûres, recueillies de ce qui a été écrit et publié à ce sujet, et après avoir appliqué les règles -qawâ'id- de la Sharî'a et ses objectifs -maqâsid- pour connaître le statut juridique de ces méthodes et de leurs conséquences, le conseil du groupe jurisprudentiel est arrivé aux décisions suivantes :
 

Premièrement : Règles générales
 
1  Le fait qu'une femme se découvre devant une personne à qui la Sharî'a ne permet pas d'avoir des relations sexuelles est interdit, sauf pour des raisons légales que la Sharî'a considère qu'elles autorisent qu'elle se découvre.
 
2  Le fait que la femme se trouve dans la nécessité de se soigner d'une maladie dont elle souffre ou d'une situation anormale dans son corps qui lui provoque des complications, est considéré comme une raison légale qui autorise à ce qu'elle se découvre devant quelqu'un d'autre que son mari, pour se soigner. Donc le fait qu'elle se découvre dépend de l'ampleur de la nécessité.
 
3  A chaque fois qu'il est permis à la femme de se découvrir devant une personne autre que celle qui lui est licite sexuellement pour des raisons légales, la personne qui pratique les soins doit être, dans la mesure du possible, une femme musulmane, sinon, respectivement, une femme non musulmane, un homme musulman digne de confiance, un non musulman. Le tête-à-tête entre la patiente musulmane et le médecin soignant n'est pas permis, la présence du mari ou de d'une autre femme est obligatoire. 
 

Deuxièmement : Le statut juridique de l'insémination
 
1  Le besoin d'une femme mariée qui n'arrive pas à avoir une grossesse et le besoin de l'époux d'avoir un enfant, est considéré comme une raison légale autorisant l'application de la méthode permise (légalement) d'entre les méthodes d'insémination artificielle.

2  La première méthode (qui consiste à prélever le sperme du mari et de l'injecter dans l'utérus de son épouse selon le mode d'insémination intérieur) est un moyen autorisé légalement sous réserve des conditions précitées et ce après avoir déterminé le caractère certain du besoin de la femme à une telle opération.
 
3  La troisième méthode (insémination à partir de l'ovule et du sperme d'un couple marié, par le mode extérieur, dans un récipient expérimental, puis implantation de l'½uf dans l'utérus de l'épouse dont est issu l'ovule) est en principe, en elle-même, autorisée par la loi. Cependant, elle n'est pas tout à fait à l'abri des doutes à cause de ses exigences et de ses manipulations délicates. Il convient donc de n'y recourir que dans le cas d'extrême nécessité et après avoir respecté les conditions générales précitées.
 
4  Dans les deux cas autorisés, le groupe (jurisprudentiel) a décidé que la filiation est établie entre le nouveau-né et le couple marié dont sont issus les gamètes. De ceci s'ensuit l'héritage et les autres droits. Ainsi, une fois la filiation entre le nouveau-né et le couple marié est établie, l'héritage et les autres règles qui régissent les liens de parenté s'ensuivent.
 
5  Quant aux quatre méthodes de l'insémination artificielle selon les deux modes extérieur et intérieur déjà cités, elles sont toutes interdites par la loi islamique. Il n'y a pas de place au caractère licite dans ce qu'elles représentent, car les deux gamètes mâle et femelle, dans ces cas, ne proviennent pas des époux, ou parce que la mère porteuse est étrangère aux époux dont sont issus les gamètes.Or donc, vu ce que comporte l'insémination artificielle comme ambiguïtés, y compris dans les deux cas qui sont permis par la loi, et dans le but de mettre en garde contre un éventuel mélange de spermes ou d'oeufs fécondés dans les récipients expérimentaux, surtout si ces pratiques se répandent et se multiplient, le conseil du groupe jurisprudentiel conseille ceux qui s'attachent à leur religion de ne recourir à ces méthodes qu'en cas de nécessité majeure et avec une extrême prudence. Voilà donc ce que le groupe jurisprudentiel voit dans cette affaire qui est l'une des affaires les plus délicates de l'heure.
 
Ils prient Allah que leur avis soit correct. Allah exalté est plus Savant, Lui qui guide au droit de la voie et permet la réussite. Prière d'Allah sur le meilleur de Ses créatures, notre maître Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses compagnons, paix d'Allah sur eux. 
 
Le président : 'Abd Al 'Azîz ben 'Abd Allah ben Bâz
Le vice-président : D. 'Abd Allah 'Umar Nacîf (Il met des réserves sur la première et la troisième méthode. Quant aux quatre autres cas, il n'y a pas de différent concernant leur interdiction)
Les membres :- Mohammed Sâlih ben 'Uthaymîn- Mohammed ben Jubayr- 'Abd Allah 'Abd ar-Rahmân as-Sâm- Sâlih ben Fawzân Al Fawzân- Mohammed ben 'abd Allah as-Sebayyil (Il met des réserves sur la troisième méthode)
Mustapha Ahmad az-Zarqâ'/ Mohammed Mahmûd Sawwâf/ Mohammed Rashîd Qabbânî/ Mohammed ash-Shâdhilî an-Nifer/ Abû Bakr Jûmî/ D. Ahmad Fahmî abû Sinnah (" Je suis d'accord avec la première méthode sans les autres ")
Mohammed al Habîb ben al Khûjah/ Bikr abû Zayd (met des réserves)/ Mabrûk ben Mas'ûd (met des réserves sur tous les cas)

Mohammed ben Sâlim 'adb Al Wadûd/ Talâl 'Umar Bâ Faqîh.
Ont été absents de cette séance :- D. Yûsuf al Qaradâoui,- D. Mohammed Rashîdi,- 'Abd al Qudûs al Hâshimî,- Mahmûd Shît Khattâb,- le Shaykh Abi al Hassan 'Ali al Hassanî an-Nadwî.
(Parmis ces savants je vous demande de ne pas prendre tout le monde pour référence car certains se sont égarés et certains ne vont jamais au centre de recherche) .
 
Comité permanent [des savants] de l'Ifta

Source: darwa.com
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Published by Le couple en islam - dans Stérilité - grossesse & enfant